La musique à l’ère de la blockchain, une révolution en marche ? C’est ce que laisse présager l’entrée fracassante de Sony dans l’univers des NFT musicaux. Le géant japonais vient en effet de dévoiler sa toute première collection de jetons non fongibles dédiés à la musique sur Soneium, sa propre blockchain basée sur Ethereum. Une initiative qui pourrait bien redistribuer les cartes dans une industrie en quête de nouveaux modèles.
Sony mise sur les NFT musicaux avec Soneium
Lancée en janvier dernier, la blockchain Soneium se présente comme un layer 2 d’Ethereum destiné à l’industrie musicale. Développée par Sony, elle ambitionne de bâtir un écosystème décentralisé où artistes, labels et fans pourront interagir de manière transparente et équitable. Un pari osé pour la major de la musique, qui semble déterminée à prendre le virage du web3.
Après quelques mois d’exploitation, Soneium compte déjà plus de 248 000 comptes créés et 1,9 million d’adresses actives selon les chiffres communiqués par Sony. Des débuts prometteurs pour cette blockchain qui entend bien s’imposer comme la référence de l’industrie musicale 3.0.
Un premier NFT musical avec le label Coop Records
Pour marquer le coup, Sony a choisi de s’associer au label on-chain Coop Records pour lancer sa première collection de NFT musicaux. Au programme : un mix exclusif de 22 minutes produit par l’artiste tokyoïte NUU$HI, disponible au mint pour 0,000777 ETH sur la plateforme Sonova.
Ce n’est pas une première pour Coop Records, qui compte déjà plus de 600 NFT musicaux à son actif. Le label crypto entend bien résoudre le problème de la répartition inégale des profits entre artistes, labels et plateformes de streaming grâce à la technologie blockchain. Une ambition partagée par Sony avec ce premier NFT musical.
Vers une transformation de l’industrie musicale ?
Au-delà de l’effet d’annonce, cette collection de NFT musicaux co-produite par Sony et Coop Records montre que la blockchain a le potentiel de transformer en profondeur l’industrie musicale. En permettant aux artistes de monétiser directement leur travail et aux fans de soutenir leurs musiciens préférés, les NFT ouvrent la voie à un nouveau paradigme plus juste et collaboratif.
Les promesses des NFT musicaux :
- Une relation directe entre artistes et fans
- Une rémunération équitable pour les créateurs
- De nouvelles expériences musicales augmentées
- Un marché secondaire pour les collectionneurs
- Plus de transparence dans l’industrie musicale
Reste à savoir si les NFT parviendront réellement à s’imposer auprès du grand public et des acteurs traditionnels de la musique. Sony semble en tout cas déterminé à jouer un rôle moteur dans cette transition vers une industrie musicale plus décentralisée et équitable. Un pari audacieux mais nécessaire à l’heure où le streaming peine à rémunérer correctement les artistes.
La musique à l’ère du web3 : un avenir à inventer
Sony l’a bien compris et compte bien prendre une longueur d’avance avec Soneium. Mais la major japonaise n’est pas la seule sur le coup. De nombreux acteurs, des startups aux artistes en passant par les plateformes décentralisées, planchent déjà sur le futur de la musique à l’ère des NFT et du web3. Un futur qui reste encore largement à inventer, mais qui s’annonce passionnant à plus d’un titre.
Une chose est sûre : avec cette première collection NFT, Sony pose un jalon important et montre que l’industrie musicale est prête à embrasser la révolution blockchain. À suivre de très près donc.
Au-delà des NFT, c’est toute la chaîne de valeur de l’industrie musicale qui est appelée à se réinventer avec l’émergence du web3. De la création à la distribution en passant par le financement et la propriété des oeuvres, la blockchain promet de bousculer les modèles établis pour donner naissance à une nouvelle économie de la musique.
Sony l’a bien compris et compte bien prendre une longueur d’avance avec Soneium. Mais la major japonaise n’est pas la seule sur le coup. De nombreux acteurs, des startups aux artistes en passant par les plateformes décentralisées, planchent déjà sur le futur de la musique à l’ère des NFT et du web3. Un futur qui reste encore largement à inventer, mais qui s’annonce passionnant à plus d’un titre.
Une chose est sûre : avec cette première collection NFT, Sony pose un jalon important et montre que l’industrie musicale est prête à embrasser la révolution blockchain. À suivre de très près donc.
Au-delà des NFT, c’est toute la chaîne de valeur de l’industrie musicale qui est appelée à se réinventer avec l’émergence du web3. De la création à la distribution en passant par le financement et la propriété des oeuvres, la blockchain promet de bousculer les modèles établis pour donner naissance à une nouvelle économie de la musique.
Sony l’a bien compris et compte bien prendre une longueur d’avance avec Soneium. Mais la major japonaise n’est pas la seule sur le coup. De nombreux acteurs, des startups aux artistes en passant par les plateformes décentralisées, planchent déjà sur le futur de la musique à l’ère des NFT et du web3. Un futur qui reste encore largement à inventer, mais qui s’annonce passionnant à plus d’un titre.
Une chose est sûre : avec cette première collection NFT, Sony pose un jalon important et montre que l’industrie musicale est prête à embrasser la révolution blockchain. À suivre de très près donc.