Imaginez la scène : le Bitcoin vient de perdre 35 % en quelques semaines, les ETF saignent, les gros titres paniquent, et là, en pleine tempête, le Financial Times sort l’artillerie lourde : « Le Bitcoin ne pourra jamais être une monnaie. » Point final. L’argument ? Son offre fixe rendrait impossible toute stabilisation en cas de chute de la demande. Boom. Rideau.
Pendant ce temps, à des milliers de kilomètres des rédactions londoniennes, une équipe lève 28,5 millions de dollars en silence pour construire exactement ce qui rend cet argument… obsolète. Pas en changeant le code de Bitcoin. Pas en créant un énième stablecoin. Mais en offrant enfin au BTC l’environnement qu’il attendait depuis 2009 : une Layer-2 capable de le transformer en véritable monnaie vivante.
Bitcoin Hyper : la réplique qui fait mal au Financial Times
Paul Donovan, économiste en chef d’UBS, a signé la tribune qui a mis le feu aux poudres. Son raisonnement est simple, presque scolaire : une monnaie doit pouvoir réduire son offre quand la demande s’effondre. Sinon, elle subit une « inflation » massive de sa valeur (900 % annualisée lors du dernier crash, selon lui). Le Bitcoin, avec ses 21 millions éternels, serait donc condamné.
« Si le Bitcoin était une monnaie, il n’y aurait aucun moyen de diminuer son offre. »
Paul Donovan, Financial Times – 26 novembre 2025
Cet argument, on l’a entendu mille fois. Il est même devenu le refrain préféré des bitcoin-sceptiques depuis 2011. Pourtant, il repose sur une hypothèse que plus personne ne défend sérieusement dans la communauté : que le Bitcoin doive tout faire sur sa couche de base.
Le vrai problème n’est pas l’offre… c’est la vélocité
Personne ne demande à l’or physique d’être utilisé pour acheter un café. On ne lui reproche pas son « offre inélastique ». Pourquoi ? Parce que l’or a une vélocité ridicule… et que tout le monde l’accepte comme réserve de valeur pure.
Le Bitcoin souffre exactement du même syndrome, mais en pire : il n’a même pas d’environnement où circuler rapidement et à bas coût. Lightning Network ? Courageux, mais toujours en beta après sept ans. Les rollups actuels sur Bitcoin ? Encore embryonnaires.
Résultat : le BTC reste bloqué dans les cold wallets ou les ETF. Il ne « tourne » pas. Sa vélocité est proche de zéro. Et c’est ÇA, pas l’offre fixe, qui l’empêche d’être une monnaie.
Bitcoin Hyper change la donne en 3 mouvements
- Il ancre la sécurité et le règlement final sur la couche de base Bitcoin (le roc).
- Il exécute les transactions sur une Layer-2 compatible SVM (la machine de guerre de Solana).
- Il permet au BTC natif d’être utilisé directement, sans wrapping hasardeux ni perte de souveraineté.
Concrètement ? Vous déposez vos BTC dans un pont canonique. Ils sont verrouillés sur la L1. En retour, vous recevez du BTC encapsulé qui se déplace à plus de 50 000 TPS, avec des frais ridicules, tout en restant 100 % adossé au vrai Bitcoin. Quand vous voulez sortir, vous brûlez le wrapper et vos BTC reviennent sur la couche de base. Impeccable.
Dans cet écosystème, le Bitcoin ne dort plus. Il circule dans la DeFi, les jeux Play-to-Earn, les réseaux sociaux décentralisés, les paiements instantanés. Il devient enfin un intermédiaire d’échange réel.
Ce que ça change fondamentalement :
- La demande de BTC ne dépend plus seulement des flux spéculatifs ou institutionnels.
- Elle devient fonction de l’utilité réelle : plus il y a d’applications, plus il faut du BTC pour les faire tourner.
- La vélocité explose → la volatilité diminue naturellement (effet de réseau monétaire).
- Le narratif « réserve de valeur morte » s’effondre.
HYPER : le carburant de cette nouvelle économie Bitcoin
Si le BTC devient enfin liquide, il faut un actif pour payer les frais, sécuriser le réseau et voter la gouvernance. Cet actif, c’est HYPER.
Chaque transaction sur Bitcoin Hyper consomme du HYPER. Chaque séquenceur, chaque validateur stake du HYPER. Chaque proposition de gouvernance nécessite du HYPER verrouillé. Résultat : une demande structurelle, récurrente, brûlée à chaque bloc.
Et là où l’argument du Financial Times s’effondre complètement : une monnaie n’a pas besoin de contracter son offre pour être stable. Elle a besoin d’une demande stable et croissante. C’est exactement ce que crée Bitcoin Hyper.
28,5 millions de dollars levés : les smart money ont déjà compris
À l’heure où j’écris ces lignes, la prévente Bitcoin Hyper vient de franchir les 28,5 millions de dollars. Le prix actuel ? 0,013335 $. Mais attention : il ne reste que quelques heures avant la prochaine augmentation automatique.
Les investisseurs qui entrent maintenant bénéficient aussi d’un staking à 60 % APY pendant la prévente. Autrement dit : vos HYPER travaillent dès le premier jour.
Et le plus beau ? Tout est achetable directement avec carte bancaire, ETH, SOL, USDT, BNB… Aucun parcours du combattant.
Pourquoi cette Layer-2 arrive au moment parfait
2025 marque un tournant. Les ETF Bitcoin spot ont apporté des centaines de milliards. Mais ils ont aussi révélé la limite : le BTC reste un asset passif. Les institutionnels achètent, hodlent, et… c’est tout.
Bitcoin Hyper propose la suite logique : transformer ces milliards immobilisés en capital actif. Imaginez BlackRock qui, au lieu de laisser ses BTC dormir chez Coinbase Custody, les met à travailler dans une DeFi yield 100 % sécurisée par Bitcoin lui-même.
Le potentiel est vertigineux.
La réponse définitive à Paul Donovan
Les monnaies ne se stabilisent pas parce qu’on détruit des unités. Elles se stabilisent parce qu’elles sont utiles tous les jours.
Bitcoin Hyper ne touche pas aux 21 millions. Il les rend enfin mobiles. Il donne au Bitcoin la vélocité qui lui manquait depuis toujours. Et quand la vélocité augmente, la volatilité diminue. C’est de l’économie monétaire de base.
Le Financial Times a raison sur un point : le Bitcoin, tel qu’il existe aujourd’hui sur sa seule couche de base, ne peut pas être une monnaie parfaite. Mais il oublie l’essentiel : Bitcoin n’a jamais été figé. Il évolue. Et sa prochaine évolution s’appelle Bitcoin Hyper.
La question n’est plus de savoir si le Bitcoin peut devenir une monnaie.
La question est : qui va profiter de sa transformation ?
Les lecteurs du Financial Times qui attendent que le BTC s’effondre ?
Ou ceux qui achètent HYPER à 0,013 $ pendant qu’il est encore temps ?
Le compteur tourne. Les 28,5 millions ne vont pas tarder à devenir 50.
Et quand la Layer-2 sera live, quand les premiers milliards de BTC commenceront à circuler à la vitesse de Solana tout en restant sur Bitcoin…
Le débat sera clos.
D’ici là, une seule adresse à retenir :
Bitcoin Hyper est en train d’écrire la suite.
Et elle s’écrit en ce moment même.
