3 projets qui prouvent que le métavers n’est pas mort

The Co-Worker Game permettra aux joueurs d’expérimenter le quotidien d’un employé IKEA et d’évoluer dans différents services. Les niveaux s’inspirent de véritables missions : réaménager des showrooms, servir des boulettes de viande… Fait insolite, quelques gamers seront même rémunérés 13,15£ de l’heure, l’équivalent du salaire minimum londonien.

L’objectif affiché par IKEA est « d’attirer une nouvelle génération de collaborateurs » et de mettre en avant les opportunités d’évolution au sein du groupe.

Le Pays de Galles, pionnier du tourisme dans le métavers

Les sceptiques voyant les mondes virtuels comme une mode passagère ont aussi été démentis par le gouvernement gallois, devenu le premier pays européen à établir une présence dans le métavers. Hébergée sur Spatial et créée par l’office du tourisme, cette plateforme vise à donner aux visiteurs un avant-goût des destinations et attractions locales.

Le métavers gallois a été conçu pour toucher de nouveaux publics, où qu’ils soient dans le monde, et les inspirer à venir visiter notre formidable nation en vrai.

Hannah Blythyn, ministre du Tourisme

Les joueurs peuvent explorer un château historique à la recherche d’une carte au trésor, emprunter un téléphérique d’un bout à l’autre du métavers ou encore admirer un amphithéâtre où résonne une musique galloise authentique. Point important, nul besoin d’un casque VR pour participer, le métavers est aussi accessible sur smartphone, tablette et ordinateur.

Le métavers, un eldorado en devenir ?

Avec ces trois initiatives dévoilées ces derniers mois, force est de constater que l’enthousiasme pour le développement dans le métavers reste vif. Et à mesure que les casques de réalité virtuelle deviennent plus abordables et performants, il y a fort à parier que les consommateurs seront plus nombreux à sauter le pas. Le métavers a encore de beaux jours devant lui.

Alors que l’engouement autour du métavers s’est quelque peu essoufflé, certaines grandes marques continuent de dévoiler des mondes virtuels novateurs et captivants. Loin d’être mort, le métavers semble encore réserver de belles surprises. Explorons 3 projets récents qui témoignent de la vitalité de cet univers en devenir.

McMetaverse : McDonald’s lance son Happy Place

Début juin, McDonald’s Singapour a dévoilé son tout nouveau monde virtuel baptisé My Happy Place, directement intégré à l’application de la célèbre enseigne de restauration rapide. Les utilisateurs ont la promesse de remporter des « prix et produits exclusifs » ainsi qu’une année de repas gratuits. Parmi les jeux proposés, les joueurs pourront construire leur burger idéal ou encore concevoir le restaurant de leurs rêves.

Des avantages sont également prévus pour les heureux détenteurs des NFTs du fameux personnage violet Grimace de McDonald’s, lancés l’an dernier. Ils auront en effet accès à des accessoires virtuels uniques.

IKEA fait ses premiers pas dans le gaming grand public

Fin juin, le géant suédois de l’ameublement IKEA se lancera à son tour dans un univers virtuel sur Roblox, une « première incursion de la marque dans le gaming grand public » selon l’entreprise.

The Co-Worker Game permettra aux joueurs d’expérimenter le quotidien d’un employé IKEA et d’évoluer dans différents services. Les niveaux s’inspirent de véritables missions : réaménager des showrooms, servir des boulettes de viande… Fait insolite, quelques gamers seront même rémunérés 13,15£ de l’heure, l’équivalent du salaire minimum londonien.

L’objectif affiché par IKEA est « d’attirer une nouvelle génération de collaborateurs » et de mettre en avant les opportunités d’évolution au sein du groupe.

Le Pays de Galles, pionnier du tourisme dans le métavers

Les sceptiques voyant les mondes virtuels comme une mode passagère ont aussi été démentis par le gouvernement gallois, devenu le premier pays européen à établir une présence dans le métavers. Hébergée sur Spatial et créée par l’office du tourisme, cette plateforme vise à donner aux visiteurs un avant-goût des destinations et attractions locales.

Le métavers gallois a été conçu pour toucher de nouveaux publics, où qu’ils soient dans le monde, et les inspirer à venir visiter notre formidable nation en vrai.

Hannah Blythyn, ministre du Tourisme

Les joueurs peuvent explorer un château historique à la recherche d’une carte au trésor, emprunter un téléphérique d’un bout à l’autre du métavers ou encore admirer un amphithéâtre où résonne une musique galloise authentique. Point important, nul besoin d’un casque VR pour participer, le métavers est aussi accessible sur smartphone, tablette et ordinateur.

Le métavers, un eldorado en devenir ?

Avec ces trois initiatives dévoilées ces derniers mois, force est de constater que l’enthousiasme pour le développement dans le métavers reste vif. Et à mesure que les casques de réalité virtuelle deviennent plus abordables et performants, il y a fort à parier que les consommateurs seront plus nombreux à sauter le pas. Le métavers a encore de beaux jours devant lui.