Imaginez un monde où transférer de l’argent à l’autre bout de la planète serait aussi simple et rapide qu’envoyer un message sur votre smartphone. Un monde où les frais bancaires exorbitants et les longs délais seraient de l’histoire ancienne. Ce monde existe déjà grâce à Bitcoin et au Lightning Network, et l’application Strike est en train de le rendre accessible au plus grand nombre.
Créée par l’entrepreneur visionnaire Jack Mallers, Strike permet à ses utilisateurs d’acheter, de vendre et de transférer des bitcoins en quelques clics, le tout avec des frais minimes. Après avoir conquis les États-Unis, l’Afrique, l’Amérique latine et plus récemment l’Europe, Strike met maintenant le cap sur le Royaume-Uni et ses 67 millions d’habitants.
Une expansion mondiale inarrêtable
Le lancement de Strike au Royaume-Uni marque une nouvelle étape majeure dans la quête de Jack Mallers de démocratiser Bitcoin à l’échelle planétaire. Comme il l’explique :
Nous sommes extrêmement heureux de proposer nos services au Royaume-Uni, la sixième économie mondiale, tout en respectant les réglementations locales pour les entreprises Bitcoin et crypto. Alors que certaines entreprises estampillées Bitcoin se sont retirées du Royaume-Uni, nous étendons notre présence et nous renouvelons notre engagement à favoriser l’adoption du Bitcoin à l’échelle mondiale et ainsi que l’innovation et l’inclusion financière dans le pays.
Jack Mallers, fondateur et dirigeant de Strike
Cette arrivée au Royaume-Uni s’inscrit dans la continuité de l’expansion européenne de Strike, lancée en fanfare fin avril. En quelques semaines, l’application a ouvert ses portes à 440 millions d’Européens, leur offrant un accès facilité à l’achat, la vente et le transfert de bitcoins.
Un processus d’inscription adapté à la réglementation britannique
Si les fonctionnalités de Strike restent les mêmes au Royaume-Uni que dans les autres pays, l’entreprise a dû s’adapter aux spécificités réglementaires locales pour son processus d’inscription. Les utilisateurs britanniques devront ainsi :
- Préciser leur profil d’investisseur parmi deux options de classification
- Passer un test de connaissances pour attester de leur compréhension des risques liés à l’investissement dans Bitcoin
- Respecter une période de réflexion de 24 heures avant de pouvoir utiliser pleinement l’application
Ces ajustements, bien que contraignants, témoignent de la volonté de Strike de se conformer aux règles en vigueur dans chaque juridiction, tout en poursuivant sa mission d’évangélisation bitcoinienne.
Bitcoin, l’avenir des transferts d’argent internationaux
Au-delà de l’achat et de la vente de bitcoins, c’est surtout la fonction de transfert de fonds qui risque de séduire les Britanniques, en particulier la diaspora. Grâce à Strike, il est désormais possible de convertir ses livres sterling en d’autres devises et de les envoyer à l’étranger, le tout à des frais bien inférieurs à ceux pratiqués par les sociétés traditionnelles comme Western Union.
Cette prouesse est rendue possible par le Lightning Network, un réseau de paiement de deuxième couche qui permet d’effectuer des transactions Bitcoin quasi-instantanées et à coût négligeable. En misant sur cette technologie, Strike entend bien s’imposer comme la solution de référence pour les transferts d’argent internationaux.
Vers une démocratisation massive du Bitcoin
Avec son interface simple et son modèle économique imbattable, Strike a tous les atouts pour séduire le grand public et accélérer l’adoption massive du Bitcoin. Son arrivée au Royaume-Uni marque une nouvelle victoire dans la bataille pour l’inclusion financière mondiale.
Alors que de plus en plus de gouvernements et d’institutions s’intéressent aux monnaies numériques, l’application de Jack Mallers a une longueur d’avance. En plaçant Bitcoin et le Lightning Network au cœur de son système, Strike pose les bases d’un nouvel ordre monétaire mondial, plus juste, plus transparent et plus efficace.
Reste à voir si les Britanniques seront au rendez-vous. Mais une chose est sûre : avec Strike, le Royaume-Uni a désormais un pied dans la révolution Bitcoin. Et ce n’est sans doute qu’un début…
