Imaginez un monde où investir dans les startups les plus prometteuses serait à la portée de tous. C’est précisément la vision de Kamea Labs, une fintech française qui vient de franchir un cap majeur en levant 600 000 € lors de la phase communautaire de son tour de pré-seed. Une étape clé qui valide l’intérêt du marché pour cette solution unique en self-custodial, dont l’ambition est de révolutionner l’investissement dans les jeunes pousses innovantes.
Kamea Labs, le trait d’union entre investisseurs et startups
Au cœur de l’offre de Kamea Labs, on trouve une plateforme pensée pour simplifier à l’extrême le processus d’investissement, du KYC (Know Your Customer) et KYB (Know Your Business) jusqu’à la signature des contrats et au paiement. Une approche inédite qui rend l’investissement bien plus accessible et efficace, aussi bien pour les startups en quête de financement que pour les investisseurs désireux de diversifier leur portefeuille.
Comme l’explique André Dibé, PDG de Kamea Labs, l’objectif est clair : “Nous avons créé Kamea Labs pour donner aux startups et aux investisseurs les moyens d’agir. Notre plateforme simplifie le processus d’investissement, le rendant plus accessible et efficace pour tous. Ce tour de financement valide notre vision et permet de concrétiser notre mission de démocratisation de l’investissement.”
Un levier de croissance pour les startups
Pour les startups, Kamea Labs est bien plus qu’un simple facilitateur. En simplifiant à ce point le processus de levée de fonds, la plateforme leur permet de se concentrer pleinement sur leur cœur de métier, sans avoir à se soucier outre mesure des aspects administratifs et financiers liés à la recherche d’investisseurs.
Un gain de temps et d’énergie précieux, qui peut faire toute la différence dans la réussite d’un projet entrepreneurial. D’autant que Kamea Labs a déjà prouvé son efficacité par le passé, en facilitant la levée de 5 millions d’euros auprès de 2000 investisseurs pour des clients comme The Big Whale, Neuranode, Allfeat ou encore Coinstancy.
600 000 € pour passer à la vitesse supérieure
Avec cette levée de fonds de 600 000 €, obtenue auprès de 200 investisseurs lors de la phase communautaire de son tour de pré-seed, Kamea Labs compte bien passer à la vitesse supérieure. Au programme : le recrutement de nouveaux talents pour étoffer l’équipe de développement, mais aussi le lancement de la version V2 de la plateforme, enrichie de plusieurs fonctionnalités clés comme une application mobile et des Clubs Deals.
Les prochaines étapes du développement de Kamea Labs :
- Expansion de l’équipe de développement
- Lancement de la V2 de la plateforme
- Sortie d’une application mobile
- Mise en place des Clubs Deals
- Renforcement des efforts de vente et de marketing
- Mise en conformité vers le cadre réglementaire européen MiCA
En parallèle, la startup prévoit de renforcer ses efforts de vente et de marketing, tout en travaillant activement à sa mise en conformité avec le futur cadre réglementaire européen MiCA (Markets in Crypto-Assets) sur les crypto-actifs.
La suite du tour de pré-seed
Si la phase communautaire de la levée de fonds est désormais bouclée, Kamea Labs n’entend pas en rester là. La startup annonce en effet le lancement prochain de la phase finale de son tour de pré-seed, avec une clôture prévue pour début 2025. L’objectif : accueillir les investisseurs stratégiques qui n’avaient pas eu l’opportunité de participer à la première phase du tour.
Outre ce nouveau jalon dans son développement, Kamea Labs affiche clairement ses ambitions à l’international. La fintech vise notamment une expansion vers les États-Unis et l’Asie du Sud-Est, deux zones stratégiques majeures pour le secteur de l’investissement dans les startups.
Kamea Labs n’est pas seulement une plateforme, c’est la banque d’affaires du futur, accessible à tous.
André Dibé, PDG de Kamea Labs
Avec cette levée de fonds réussie et ces projets de développement ambitieux, Kamea Labs confirme son statut de fintech à suivre de près. En démocratisant l’accès à l’investissement dans les startups les plus prometteuses, elle pourrait bien révolutionner en profondeur le paysage de l’innovation et du capital-risque. Un pari audacieux, mais qui semble en très bonne voie au vu de l’engouement suscité par cette première étape clé.
