Imaginez pouvoir investir dans une multitude d’opportunités, du Web2 au Web3, en gardant un contrôle total sur vos actifs. C’est précisément ce que propose Kamea Labs, une société française qui a développé un modèle d’investissement révolutionnaire et unique au monde. Rencontre avec André Dibé, co-fondateur de ce projet novateur.

Kamea Labs : La banque privée des investisseurs particuliers

Tout a commencé en 2019, en plein boom des ICO dans l’univers des crypto-monnaies. André Dibé et ses associés, Andréa Vistoli et Sébastien Choukroun, ont eu l’idée de démocratiser l’accès à n’importe quelle opération de financement, en s’inspirant de la simplicité des ICO.

Leur constat ? Les investisseurs particuliers sont souvent freinés par la complexité et les coûts liés aux nombreux intermédiaires du modèle custodial classique. La solution de Kamea Labs se veut radicalement différente :

« Chez nous, c’est ce que nous appelons le moteur de proxy. C’est un moteur qui permet à ma clé, en tant que gestionnaire, de signer sur votre wallet alors que je n’ai pas votre clé. C’est avec ça que nous sommes allés voir l’AMF pour être enregistrés PSAN. »

André Dibé, co-fondateur de Kamea Labs

Grâce à ce moteur de proxy, les utilisateurs conservent la garde de leurs actifs tout en déléguant de manière sécurisée la gestion à des professionnels. Une approche inédite qui a valu à Kamea Labs d’être la première société enregistrée PSAN par l’AMF pour ce type de service.

Un compte unique pour investir en toute simplicité

Sur Kamea Labs, les utilisateurs disposent d’un compte d’investissement universel. Que vous souhaitiez déposer des cryptos ou des euros, la plateforme s’adapte en vous fournissant un wallet dédié ou un IBAN virtuel. Mais la véritable force de Kamea Labs réside dans son large éventail d’opportunités d’investissement, accessibles en quelques clics :

  • Investissements directs dans des projets triés sur le volet
  • Clubs d’investissement pour mutualiser les opportunités
  • Délégation à des gestionnaires d’actifs professionnels

Le tout avec une expérience utilisateur intuitive, où la blockchain reste invisible. Selon André Dibé, c’est la clé pour démocratiser cette technologie auprès du grand public.

L’Europe et le monde comme horizon

Forte de son enregistrement PSAN, Kamea Labs dispose d’un avantage compétitif certain pour se développer en Europe. En effet, la réglementation MiCA prend largement exemple sur le PSAN français, ouvrant de belles perspectives à l’international :

« L’objectif, c’est qu’en 2025 nous soyons dans la procédure d’internationalisation. Dès lors que nous seront régulés MiCA, nous serons passeportables partout en Europe. Puisque nous serons parmi les seuls à être décentralisés, et donc, compatibles avec des ICO, il est évident que nous devons nous étendre. »

André Dibé, co-fondateur de Kamea Labs

Au-delà de l’Europe, la startup française lorgne également des marchés propices aux cryptos comme la Suisse, Dubaï ou encore Singapour. L’ambition est claire : faire de l’application Kamea Labs le compagnon d’investissement incontournable des particuliers du monde entier. Une démocratisation de la banque privée qui pourrait bien bousculer l’épargne traditionnelle.

Avec déjà 3,5 millions de dollars d’actifs sous gestion et 1500 utilisateurs conquis, Kamea Labs dispose de solides arguments pour réussir son pari. Nul doute que cette pépite française a de beaux jours devant elle pour propulser l’investissement dans une nouvelle ère.

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Passionné et dévoué, je navigue sans relâche à travers les nouvelles frontières de la blockchain et des cryptomonnaies. Pour explorer les opportunités de partenariat, contactez-nous.

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